NOTRE MISSION
Bomélia a pour mission d'offrir à ses clientes une expérience de soins personnalisée axée sur la santé et le bien-être et ayant pour but d'éveiller la beauté et la confiance de chaque femme, tout en favorisant le développement continuel des connaissances de notre équipe professionnelle.
FONDATRICES
NOTRE HISTOIRE
Il était une fois, la rencontre de Jessica Beaudoin, esthéticienne, et de Sarah-Maude Lafond, artiste en maquillage permanent, deux femmes d’affaires entreprenantes qui se nourrissaient de défis et qui avaient comme but d’aider le plus de femmes possibles à s’épanouir et à se sentir bien dans leur peau. Elles eurent alors comme ambition d’ouvrir un salon de beauté et bien-être, qui offre des services d’esthétique et de médico-esthétique, le tout en offrant une belle variété de services et de produits de qualité.
C’est avec beaucoup de préparation et d’acharnement que nos efforts ont porté fruit. Nous avons ouvert les portes de Bomélia Institut Beauté en février 2020 à Sherbrooke. Pour le bien de l’entreprise, nous préconisons un courant de la pensée gestionnelle lié aux relations humaines et priorisons le développement et l'épanouissement professionnel de notre équipe. Nous sommes fières de notre équipe de professionnelles.
D'OÙ PROVIENT LE NOM
Nous souhaitions trouver un nom original et créatif qui représentait bien le milieu de l’esthétique et de la beauté. Nous ne voulions surtout pas avoir un nom commun aux autres salons. Nous avons donc débuté nos recherches en regardant différents noms de plantes et de fleurs. C’est alors que nous sommes tombés sur la fleur « B(r)omélia ». Nous sommes immédiatement tombés sous le charme de sa description, qui la représentait mais, mais qui pouvait aussi bien représenter notre salon :
« Avec son inflorescence colorée entourée d’une couronne de
feuilles, le bromélia ne passe pas inaperçu. »
« Il faut dire que seul ou associé à d’autres variétés
colorées, le bromélia apporte une dose de bonne humeur au décor »
Puis, nous avons enlevé le (r) de « Bromélia », ce qui nous laissait « Bo », pour « B(eau)té ».